LSDreams 10th Edition

http://lsdreams.lasalleuniversities.net/

The intention of the LSdreams’ project is to encourage the creative and talented young people of
our Lasallian Schools in Europe and the Middle East to work in cooperation, and develop new ideas
in favour of a more environmentally, economically and socially sustainable planet. The project
aims to promote innovative ideas in six possible areas: Engineering, Business Management,

Architecture, Health, Digital Arts, Animation & VFX and Education. The contest is opened to pre-
university students in our Lasallian Region. Students from participating schools are invited to develop

their idea under the supervision of a tutor who will assume the role of ambassador in their center,
they can work in teams formed by a maximum of three students from the same center or in collaboration
with two teams from different centers of the same country or from other countries.
The 10th edition presents substantial news regarding the previous editions. First, the organization
wants to raise awareness of challenges related to any of the 17 UN Sustainable Development Goals.
The awards consist of participation in the International Summer School of Barcelona or Madrid. All
winners, together with their tutor, can participate in one of the Spanish University campuses of La Salle.

Los alumnos de 3º y 4º de EPO conocen Estrella Azahara dentro del Plan de Justicia del Colegio

Ha sido una mañana especial, conforme al plan de Justicia del centro, los alumnos de 3º y 4º de EPO, conocen de cerca la realidad de nuestro centro Estrella-Azahara.

Hasta las aulas han llegado dos trabajadores del centro de Estrella Azahara quienes han explicado qué es este centro, qué tipo de actividades se realizan allí, a quién van dirigidas dichas actividades, cuál es el objetivo de realizar dichas actividades, la importancia de nuestra ayuda, entre otras muchas cosas que hemos podido aprender en la sesión de sensibilización de Estrella Azahara.

Estrella Azahara es una asociación formada por un equipo de profesionales y voluntarios que pertenecemos a la Red de Obras La Salle y trabajamos desde el año 2005 en la ciudad de Córdoba con el objetivo de que niños, jóvenes y adultos que se encuentran en situación de riesgo de exclusión social, tengan una vida más digna.

La Guerra vista pels nens i les nenes Acte amb motiu del Dia Escolar de la No-violència i la Pau, a l’Escola La Salle

Imatge

Com un acte a l’entorn del Dia Escolar de la No-violència i la Pau, presentem un recull de dibuixos i relats que varen fer les nenes i els nens de l’Escola Carles Marx (actual La Salle), l’any 1937, quan tenien 9 i 11 anys, i van pintar i escriure sobre la Guerra.
Comptarem amb dues d’aquelles nenes, i el director de l’audiovisual, Quim Paredes, i tot l’equip de persones que ha col·laborat en el projecte, promogut i produït pel Museu d’Història de Girona, Salomó Marquès, i l’Escola La Salle.
Les noies i els nois de la mateixa escola, hi han participat activament, vuitanta-dos anys després.

Presentació: Salomó Marquès
Hi participen: Quim Paredes (director), Consol Colomer (testimoni) i les noies i els nois de l’escola
Organitza: Museu d’Història de Girona
Hi col·laboren: escola La Salle i Universitat de Girona
Amb el suport de: Diputació de Girona i Generalitat de Catalunya

Exposition d’Alper Akça : Disparition- Saint Michel Istambul

Après des études à l’Université d’İstanbul, il a travaillé en tant que responsable de projets sur de nombreux festivals culturels, avant de devenir directeur du département Marketing en entreprises. C’est dans les années 2010 qu’il a quitté le milieu de l’entreprenariat pour s’intéresser au concept de volontariat en Turquie. 

Dans ce cadre, il a réalisé divers projets avec UNDP et la fondation Vodafone, pour créer la “Dreams Academy”, 1ere Académie des Arts travaillant avec de jeunes Turcs en difficultés. 

Alper Akça a toujours mené son aventure de photographe dans un style documentaire. 

Le projet intitulé Transformation / Disparition / Futur Antérieur est un passage de l’analogique au digital.

Le second volet que nous découvrons en salle Jeanne d’Arc s’appelle “Disparition”  et constitue le 2e volet de ce projet artistique en 3 épisodes. C’est aussi la dernière où Alper Akça expose ses photos réalisées en analogique. 

Cette exposition met en lumière la grande transformation qu’a subie la mégapole d’İstanbul, ville que nous chérissons tant. 

Le 3ème volet qui est prévu pour 2023 s’intitulera  “Gelecektir” / Futur Antérieur et pour la première fois, le photographe utilisera des photos digitales. 

« Noël à la maison de retraite » – La Salle Saint Jean Perpignan

« Nous avons passé l’après-midi à la maison de retraite des jardins St jacques de Perpignan entourés de tous les résidents. Les élèves de 5ème avaient confectionné et décoré des étoiles pour chacun d’entre eux. Un cadeau de noël en cet après midi où célébrions la messe de la nativité. Les élèves de 5ème1 ont appris , pour la deuxième fois, à connaître les pensionnaires qui ont été très contents de nous voir. Nous avons ensuite partagé un goûter et pour nous remercier, l’animatrice, Sandrine, nous a offert un sachet de délicieuses friandises. Les sourires et la joie des pensionnaires nous ont réchauffé le cœur. Nous leur disons « A bientôt ».
Lucas S. 5ème1

Exposition à la Chapelle St Joseph La Salle Rodez

Dans le cadre d’un projet interdisciplinaire intitulé « Antisémitisme et Engagement », deux classes de troisième proposent une exposition à La Chapelle Saint Joseph (dans l’enceinte du collège, 1 rue Sarrus).  L’exposition sera ouverte au public le vendredi 24 janvier 2020, de 16 heures à 20 heures.

Cette exposition créée par les élèves a pour thème « Ils ont dit NON ». Des figures de la résistance allemande seront montrées, ainsi que des portraits, réalisés par les élèves, de Simone Veil et d’Anne Frank. Figureront aussi, en réalité augmentée, des panneaux rendant compte d’une randonnée mémoire « sur les traces de l’Occupation » dans la ville de Rodez.

Cette exposition s’inscrit dans le thème de la journée franco-allemande « lutter contre toute forme de racisme et de discrimination ». Elle permettra de rappeler l’importance de l’engagement et de célébrer, le 27 janvier, l’anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz.

Repas vietnamien à St Jo

Le groupe SEMIL Vietnam prépare un projet solidaire pour l’été 2020.

Pour la 2ème fois (le 1er projet s’est déroulé en 2018), un groupe de 13 lycéens de Seconde et 1ère (LEGT et LP) prépare un projet solidaire pour soutenir un orphelinat et centre d’accueil des Sœurs St Paul de Chartre dans la région de Danang mais également une école de frères lasalliens.

En ce début d’année, toute l’équipe s’est mobilisée pour proposer un repas vietnamien au self de St Jo.

L’association Vietnam Bretagne Sud a prêté « mains fortes » pour la préparation du repas réalisé sur place. Les convives ont apprécié le repas de qualité mais également les danses traditionnelles, les animations et l’exposition photos de qualité.

L’implication des lycéens et des membres de l’association Vietnam Bretagne Sud a permis cette belle soirée de partage et de découverte de la culture vietnamienne à travers les animations, les danses, la présentation de costumes traditionnels mais également une exposition photo.

Un grand merci à tous et en particulier à Mai, Thuy, présidente et vice-présidente de l’association VIETNAM Bretagne Sud ainsi qu’aux membres de l’association qui soutiennent ce projet de St Jo.

Véronique LE VAGUERESSE

La révolte de Daliya Akter – Le Déclic Notre-Dame de Bastogne

Dans la classe de 5GT5, nous avons beaucoup étudié dans différents cours  les conditions de travail dans les pays en voie de développement et plus précisément dans les usines de textiles. Après notre visite des locaux Oxfam à Bruxelles le 25 novembre dernier, on a décidé d’écrire cet article pour sensibiliser l’ensemble de l’école aux injustices pratiquées dans ces usines.

Son histoire 

Daliya Akter est une jeune adulte, de 25 ans, travaillant dans le domaine du textile depuis 6 ans qui tente de lutter contre les mauvaises rémunérations au Bangladesh, comme le fait de ne pas recevoir de paiement pour les heures supplémentaires prestées. 

Son parcours ressemble au parcours de beaucoup de ces jeunes ouvrières, elle est née dans un petit village près de Barisal.  À l’âge de 19 ans, elle est venue à Dacca, la capitale du Bangladesh pour y trouver du travail.

Elle a commencé en tant que domestique puis elle s’est dirigée vers une usine de prêt-à-porter mais les conditions dans lesquelles elle travaille ne sont pas différentes des 4 millions autres salariés dispersés dans les 4500 usines au Bangladesh. 

Son combat

Certains congés et heures supplémentaires n’ayant pas été payés, elle et les autres filles de son atelier se sont révoltées. 

Elle a pris contact avec une association qui lui a fait prendre conscience de ses droits fondamentaux au travail. Elle a pu comprendre à quel point ses conditions de travail étaient pénibles.

Pour mettre cela en oeuvre, elle a collecté des signatures grâce à la connaissance de militants syndicaux. Cette pétition avait pour but de créer une section syndicale dans sa propre usine.  

Observations des conditions actuelles

Grâce aux nombreuses recherches réalisées dans nos cours, à l’excursion Oxfam à Bruxelles et au récit de cette jeune fille, nous pouvons observer que les conditions de travail dans les usines, des pays en voie de développement sont mauvaises, au Cambodge par exemple une usine qui fournissait H&M s’est effondrée en mai 2013, ce qui avait causé 23 blessés.

Aussi nous observons que les salaires sont trop bas, actuellement le salaire minimum s’élève à 8000 takas c’est-à-dire 83 euros par mois. Les conditions d’hygiène ne sont pas respectées et les normes de sécurité sont pratiquement inexistantes. 

Suite au drame du Rana Plaza en avril 2013 qui a bouleversé le monde entier, de nombreux articles et documentaires ont mis en évidence les réelles conditions de travail des ouvrières du monde entier.   

Le 4 décembre 2019 le film “Made in Bangladesh” est sorti en France.

Ce film est inspiré de l’histoire réelle de Daliya Akter, elle-même dit qu’elle peut s’identifier au personnage principal et a aidé à la réalisation de ce film.

Ce film dénonce au grand public sans secret comment vivent les ouvrières au Bangladesh. 

 Changement en vue

Le Bangladesh, deuxième plus grand exportateur de vêtements du monde, ambitionne que d’ici 2023 le secteur de textile gagne 20 milliards de dollars en plus qu’actuellement. Aujourd’hui la valeur de ce secteur est de 30 milliards de dollars par an.

Depuis le 6 janvier 2020, des milliers d’employés font grève suite aux nombreuses injustices. Un travailleur avait trouvé la mort lorsque les forces de l’ordre avaient tiré des balles de caoutchouc et des grenades lacrymogènes sur 5.000 manifestants pendant une des manifestations. À Ashulia, près de la capitale Dacca, des véhicules blindés et des centaines de policiers gardaient les usines du plus grand centre textile du pays. Un message était diffusé par haut-parleur et disait: “aucune violence ne sera tolérée“.

Le gouvernement bangladais a négocié un compromis le dimanche 12 janvier entre les syndicats et fabricants pour mettre fin au conflit social, convenant d’une augmentation pour les ouvriers situés dans la partie intermédiaire des grilles salariales. Actuellement le seul vrai changement est une augmentation de 20 takas (0,20 euros) sur leur salaire. 

Le combat de ces ouvriers et les nombreux articles, documentaires sur ce sujet accélèrent le procédé d’amélioration et de changement.      Des améliorations se font petit à petit, malgré que les droits fondamentaux du travail, de l’homme,… ne sont pas encore assez respectés dans le secteur de textile dans ces pays en voie de développement.  

Comment pouvons nous aider ?

Nous, en tant que consommateurs cherchons sans cesse à avoir le prix le plus bas. Les industries, elles, veulent augmenter leur marge bénéficiaire le plus possible. Tout ceci fait que l’argent que nous voulons économiser et que les entreprises veulent gagner est retiré du salaire de ces ouvriers et de l’infrastructure dans laquelle ils travaillent. Le consommateur a la possibilité de changer les choses en changeant ses habitudes. Une idée  par exemple est que nous pouvons chercher une alternative telle le label “fairtrade”, qui aide les ouvriers quotidiennement. Les produits seront certes plus chers suite à la rémunération équitable mais est-ce que vous ne pensez pas que cela le vaut bien ? 

Norah Pothaar et Flavie Jaumain, 5GT5

Spojená škola de La Salle

Obrázok 2020-01-10 09:34:26

Tri decembrové dni strávili študenti kvarty v Prahe. Spoločnosť ich robili p. učiteľky Stanová a Popovičová. Okrem vianočných trhov a historických pamiatok navštívili aj výstavu Doba génová v Národnom múzeu a bývalý pracovný tábor v Terezíne. Najmä ten v nich hlboko zarezonoval. Z ich zážitkov vyberáme „….Ako prvé sme navštívili Malú pevnosť. V prehliadke Malej pevnosti sme sa dozvedeli o živote väzňov. Videli sme veľa zaujímavých vecí ako: ubytovanie väzňov, tunel, strelnicu… Zistili sme, že väzni tam mali oveľa ťažší život ako sme si kedy dokázali predstaviť. Panovala tam ponurá atmosféra, prechádzali sme po celách a uličkách, kde v minulosti každodenne umierali ľudia. Strážnici sa narozdiel od väzňov mali o dosť lepšie. Po prezretí Malej pevnosti sme sa presunuli do mesta Terezín. V tomto meste sme navštívili chlapčenskú školu, v ktorej bola na druhom poschodí galéria. Na dolnom poschodí tohto múzea bola výstava o tom ako sa tam žilo. Aby sme si mohli predstaviť ako vyzeralo mesto, tak nám ukázali jeho presný model. Na záver sme navštívili krematórium a cintorín, aby sme vzdali úctu všetkým obetiam nacizmu…“

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