Cérémonie de valorisation professionnelle – Dep. Finisterre

Parmi les anciens élèves du lycée professionnel au Likès, c’est Gaëtan Thépaut qui a ainsi été récompensé.

Gaëtan, après son collège, s’est orienté vers une seconde professionnelle Vente en Animalerie. L’orientation lui convenant pas, il s’est dirigé vers un CAP Employé de Vente Spécialisé qu’il a réussi brillamment, faisant preuve d’une implication remarquable et d’un travail exemplaire. Ceci lui a permis d’aborder la formation d’un bac professionnel commerce en 2 ans après son CAP. Les commentaires de ses professeurs comme ceux de ses tuteurs en entreprise sont élogieux : « élève investi, studieux, positif, compétent, exemplaire dans son travail et son comportement, volontaire, motivé, un parcours d’excellence…. » Durant plusieurs années Gaëtan s’est aussi beaucoup impliqué dans ses fonctions de délégué-élève, de membre du Bureau des élèves et, actuellement, de membre du bureau des étudiants car il a accédé à la première année de BTS Négociation Relation Client. Il assure également la fonction de surveillant-élève à l’internat. Beaucoup de volonté et le sourire permanent caractérisent Gaëtan, qui a le souci de toujours bien faire et qui fait partie des jeunes particulièrement méritants au Likès.

La cérémonie permet également de mettre en lumière la pluralité des filières professionnelles qui sont un vivier d’excellence sur l’ensemble du territoire finistérien.

Quand les Lazos deviennent les Césars… Aux Lazaristes – Lyon

Le cinéaste Christian Carion, qui a eu la chance de diriger pendant trois mois Guillaume Canet, Diane Krüger et Dany Boon entre autres grands acteurs, est venu présenter son film Joyeux Noël en salle de conférences sur le site Saint-Barthélemy. Financée par le Bureau Des Elèves, la projection a regroupé un public de près de 150 élèves.

Le réalisateur a introduit son film, puis répondu pendant pas moins d’une heure et demie aux nombreuses questions de spectateurs passionnés et profondément touchés par une histoire vraie et émouvante. Avec sa disponibilité, nous avons pu découvrir les coulisses d’un film levant le voile sur les fraternisations de Noël 1914, au moyen de nombreux témoignages français, allemands et écossais.

Merci à lui et à Gustav Fière pour l’organisation de cette soirée inoubliable.

                             Guillaume d’ALLARD, Elève de terminale et président du BDE

Evocación del H. Pedro Arrambide Iriazábal

En la madrugada del 10 de febrero de 2017 fallecía en Donostia-San Sebastián el Hermano de La Salle Pedro Arrambide a sus 75 años de edad.

Fue responsable del Departamento de Misiones de la Confer (1986-1998) . Abrió nuevos caminos para la cooperación con los pueblos empobrecidos y preparó y publicó nuevos recursos para la sensibilización –folletos, libros y videos–. Era un experto fotógrafo y filmador. Su actividad fue imparable.

Había nacido en Hondarribia (Gipuzkoa) mirando al infinito del mar. Ingresó de joven en el Instituto de los Hermanos de las Escuelas Cristianas (La Salle). Y su mirada y su compromiso no se limitaron a su tierra, se dirigieron más allá, a los mundos empobrecidos más necesitados.

parrambide01Una característica del H. Pedro en el servicio a favor de los pobres ha sido su capacidad para implicar a otros muchos en ello, tanto con una presencia personal como con sus aportaciones económicas. No se ha contentado nunca con una implicación suya personal.

Ya antes, durante siete años en Roma estuvo al frente del Servicio de Cooperación Lasaliana Internacional del Instituto de La Salle. En 1986, compaginando su servicio de la Confer preparó y presentó a los superiores de La Salle una de sus intuiciones importantes, la creación de Proyde, la ONGD lasaliana Promoción y Desarrollo. Y logró su puesta en marcha. Sus colaboradores iniciales fueron otros dos Hermanos, educadores como él, con experiencia misionera y que creían como él en el proyecto.

parrambide02Pero Pedro se implicó personalmente en el mundo de los pobres y de las misiones en varias épocas de su vida, sobre todo en el Cuerno de África. De joven en Keren (Eritrea) y después de su servicio en la Confer, durante once años, en Asmara y Hagaz (Eritrea).

Estando en Eritrea el Gobierno Vasco le concedió el Premio Cooperante Vasco 2006, premio creado para reconocer y recompensar la labor de aquellas personas de Euskal Herria que se han distinguido por las actividades de solidaridad llevada a cabo en países del Tercer Mundo.

En 2009 dejó Eritrea con mucho dolor, ante la política del gobierno en contra de los misioneros extranjeros. Y fue llamado a Roma para la animación del Departamento de Solidaridad.

En 2013 tuvo que regresar a su tierra por problemas de salud. El 15 de octubre de 2014 el ayuntamiento de su ciudad natal, Hondarribia, rindió un sentido homenaje al H. Pedro Arrambide en «reconocimiento por su voluntariado, por su larga trayectoria dedicada a ayudar a los demás en diferentes lugares del mundo».

Pedro, entre otras muchas cosas dejó escrito: «Para mí la vida tiene sentido en la fe en Jesucristo. La gran recompensa es que uno encuentra su identidad y la felicidad en el servicio a los demás». Y solía añadir: «La vida es como el coco, si no se abre se pudre».

H. José Manuel Agirrezabalaga

La région académique s’illustre à la remise du Prix avenir métiers d’art à Paris – La Salle Dole

Marie Decker a obtenu son DTMS option habillage en juin 2016 au lycée polyvalent privé Pasteur Mont Roland de Dole. La jeune femme avait ébloui le jury académique avec son kimono de théâtre réalisé dans le cadre de l’examen de fin d’année.
À Paris, elle a une nouvelle fois brillé par son travail. Son costume, réalisé en camaïeu de bleus, comporte des broderies que Marie a réalisées dans l’esprit des broderies traditionnelles japonaises.

Elle a également mis en oeuvre des techniques de teinture traditionnelle (“sashiko” et “shibori”) et des techniques artisanales d’ornements : les broderies donc, ainsi que de la peinture textile et des appliqués.


Le vêtement est destiné au personnage principal de l’opéra “Madame Butterfly” de Puccini, “Cio-cio-san”, durant l’acte II. Marie a ainsi pris en compte les contraintes scéniques qui ont déterminé le choix des textiles et les modes de fermeture et d’accroche permettant un enfilage et un déshabillage rapides.
Le kimono imaginé par Marie est une oeuvre complète et singulière reflétant tous les talents de la jeune couturière. Il est le fruit de deux années d’études, un travail complet allant des recherches historiques, du tracé des patrons, jusqu’à la réalisation finale, incluant l’habillage d’un modèle vivant. Un travail d’autant plus impressionnant qu’il a été réalisé en un temps record (100 heures) et avec un budget contraint (100 euros).
Grâce à ce premier prix national, Marie recevra une dotation de 4 500 euros de l’INMA. La jeune femme projette de réaliser des formations à l’étranger dans les domaines du costume et de l’habillement, afin de découvrir les différentes techniques de couture traditionnelle.
Elle est en train de lancer son entreprise de création de costumes destinés à la scène et à des tenues de prêt-à-porter.

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